Pensée du Jour !

Tacite : 
Où ils ont fait un désert, ils disent qu'ils ont donné la paix.

Élisée Reclus : 
On peut affirmer que la Terre produit assez pour tout le monde et que chacun peut manger à sa faim. Ce n’est pas le sol qui n’a jamais refusé la nourriture à l’homme ; c’est l’appropriation capitaliste des terres cultivables qui empêche l’homme de s’en servir. 

Éric Chevillard : 
Je crains l’avenir. Mais il doit me craindre plus encore. Car moi, j’y vais, tandis qu’il se dérobe. 

George Orwell : 
Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres et à donner l’apparence de la solidité, à ce qui n’est que du vent. 

Robert de Flers : 
Aujourd’hui, la vie va si vite que la conscience ne peut pas suivre !

Paul Valéry : 
La politique est l’art d’empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde. 

Machiavel : 
la meilleure forteresse des tyrans, c’est l’inertie du peuple.

Coluche :
De tous ceux qui n’ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent.

Pierre Rabhi :
La planète Terre est à ce jour la seule oasis de vie que nous connaissons au sein d’un immense désert sidéral. En prendre soin, respecter son intégrité physique et biologique, tirer parti de ses ressources avec modération, y instaurer la paix et la solidarité entre les humains, dans le respect de toute forme de vie, est le projet le plus réaliste, le plus magnifique qui soit.

Honoré de Balzac : 
Derrière chaque grande fortune, se cache un crime.

Picasso :
À 10 ans je peignais comme Raphaël, et ça m’a pris toute ma vie pour dessiner comme un enfant.

J. Edgar Hoover, directeur du FBI :
L'individu est handicapé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse, qu'il ne peut croire qu'elle existe.

André Frossard :
-Un riche ne l’est jamais assez pour consentir à l’être un peu moins.
-Les Français raffolent des révolutions, mais ils ont horreur du changement.
-Les socialistes voulaient changer la société. Ils ont changé le parti socialiste.  
-La maladie la plus répandue chez les hommes politiques est l’amnésie.
-Il a été décidé qu’on reparlerait, dès les petites classes, d’éducation civique, d’honnêteté, de courage, de refus du racisme et d’amour de la République. Il est dommage que l’école ne soit fréquentée que par les enfants.

J.M.Keynes :  
Le capitalisme, c’est la croyance stupéfiante selon laquelle les pires des hommes vont faire les pires choses pour le plus grand bien de tout le monde...

Élisée Reclus : 
On peut affirmer que la Terre produit assez pour tout le monde et que chacun peut manger à sa faim. Ce n’est pas le sol qui n’a jamais refusé la nourriture à l’homme ; c’est l’appropriation capitaliste des terres cultivables qui empêche l’homme de s’en servir. 

Robert de Flers : 
Aujourd’hui, la vie va si vite que la conscience ne peut pas suivre !

Hannah Arendt :
Si nous nous obstinons à concevoir notre monde en termes utilitaires, des masses de gens en seront constamment réduites à devenir superflues.

A. de St Exupéry :
L’avenir, il ne s’agit pas de le prévoir mais de le rendre possible.

Daniel Balavoine :
Je m’emporte pour ce qui m’importe.

Jean Cocteau :
Le drame de notre époque, c’est que la bêtise se soit mise à penser.

Jean Jaurès : 
Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots. 
Je remplacerais ''peuvent'' par veulent. 
Noam Chomsky : 
-Il me semble que, au moins dans les sociétés occidentales riches, la démocratie et le marché libre déclinent à mesure que le pouvoir se concentre, chaque jour davantage, dans les mains d’une élite privilégiée. 
-Je crois, juridiquement parlant, qu’il y aurait des motifs sérieux pour inculper chaque président des États-Unis depuis la seconde guerre mondiale. Il ont tous été, soit de véritables criminels de guerre, soit impliqués dans de graves crimes de guerre.
(et même ceux, bien avant et pas seulement américains)

Empédocle :  
Tantôt l'amour réunit tout en un ; et tantôt la haine divise tout en deux.

Bertolt Brecht :
Si tu ne peux pas participer à la lutte, tu participeras obligatoirement à la défaite !

Christine Arnothy :
La moralité est faite pour les pauvres. Pour les mieux tenir.

Voltaire :
Pour être libre il faut être informé.

Lucie Aubrac :
La meilleure arme d’un résistant n’est pas la mitraillette mais l’information.

Mr Hernandez :
Entre le travailleur immigré qui paie ses impôts en France et pour lequel se discute le droit ou pas de vote aux municipales, et le bon Français qui fait ses valises pour émigrer afin d’échapper aux impôts qui l’attendent, je vous pose cette question : "Quel est le plus citoyen des deux ?"

Hubert Bonaldi :
La prison n’est qu’un reflet démesurément grandi de la société qui produit ceux qu’elle incarcère.

François Forestier :
Rien de plus abject que l’asservissement de la presse au pouvoir.

Jean Rostand :
L’obligation de subir nous donne le droit de savoir.

Jean Blusson :
En matière de sciences, le scepticisme est un devoir. En matière de politique, il est une obligation.

Gilles Perrault :
La tolérance, c'est la civilisation par excellence.

José Bové :
Si l’on ne construit pas un monde de partage des richesses, c’est un monde de conflits multilatéraux qui nous attend.

Jean Baudrillard :On revient avec le crédit à une situation proprement féodale, celle d’une fraction de travail due d’avance au seigneur, au travail asservi.

Jacques Ellul :
L’homme n’a pas de besoins ? Il faut lui en créer !

Albert Thibaudet :
C’est quand les choses sont arrivées qu’on voit combien elles étaient faciles à prévoir.

Mirabeau :
Les grandes fortunes corrompent ceux qui les possèdent et ceux qui les envient…

Ali Abu-Talib :
La langue est un fauve quand la raison l'abandonne.

JPM Brault :
Autrefois, il y avait les seigneurs de la guerre. Aujourd’hui, il y a les saigneurs de l’économie.

Ambrose Bierce :
Homme de loi. Personne habile dans le détournement de la loi. 

Proverbe africain à destination de Jacques Séguéla : 
Vous avez la montre, nous on a le temps.

Yevgeny Yevtushenko :
Lorsque la vérité est remplacée par le silence, le silence devient un mensonge.

Louis Scutenaire :
-Les riches ont des angoisses, les pauvres des inquiétudes.
-Les chefs sont des salauds puissants ; les sujets, des salauds en puissance.
-Au pays des muets les aveugles sont sourds.


Derudder et Holbecq :
Tant que le citoyen ne reprendra le pouvoir sur l’économie, il en restera l’esclave.

Jules Vernes :
Tout ce qui est impossible reste à accomplir.

Talleyrand :
Si les gens savaient par quels petits hommes ils sont gouvernés, ils se révolteraient vite.

Jean-Jacques Rousseau :
La société n’offre plus aux yeux du sage qu’un assemblage d’hommes artificiels et de passions factices.

Frantz Fanon :
Pour le colonisé, la vie ne peut surgir que du cadavre en décomposition du colon.

Pierre Dac :
Le chaînon manquant entre le singe et l’homme c’est nous.

Oscar Wilde :
Aux yeux de quiconque a lu l’Histoire, la désobéissance est la vertu originelle de l’homme. La désobéissance a permis le progrès - la désobéissance et la rébellion.

Georges Clemenceau :
On ne ment jamais autant qu’avant les élections, pendant la guerre et après la chasse.

Gustave Le Bon :
Les oeuvres importantes résultent plus rarement d'un grand effort que d'une accumulation de petits efforts.

Claire Booth Luce :
La différence entre un optimiste et un pessimiste, tient au fait que le pessimiste est habituellement mieux informé.

Georges Bernanos :
Il faut beaucoup d’indisciplinés pour faire un peuple libre.

Alfred Sauvy :
Bien informés, les hommes sont des citoyens ; mal informés ils deviennent des sujets.

Confucius :
-Notre plus grande gloire n'est point de tomber, mais de savoir nous relever chaque fois que nous tombons.
-Le sage voit son devoir. Le vulgaire voit son intérêt.

George Orwell :
-Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres et à donner l’apparence de la solidité, à ce qui n’est que du vent.
-Chaque génération se croit plus intelligente que la précédente et plus sage que la suivante.

Serge Grass :
Quand les citoyens se comportent en sujets, les élus se comportent en monarques.

Schopenhauer :
Toute vérité passe par trois stades : En premier lieu on la ridiculise ; en deuxième lieu on s’y oppose violemment ; enfin on l’accepte comme si elle allait de soi.

Etienne Chouard :
 -L'important, ce n'est pas que les citoyens votent la Constitution, mais qu'ils l'écrivent, sinon, ce sont encore les hommes de pouvoir qui feront les règles.
-La souveraineté du peuple a laissé la place à la souveraineté des élus.


Junon Moneta :
La faillite d’un pays ne peut exister ailleurs que dans la tête des financiers. Une fois la monnaie réduite à néant, c’est tout ce qui reste qui fait la valeur d’un pays.

La Boétie :
Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux !


Alphone Allais :
Il faut prendre l’argent là ou il se trouve : chez les pauvres. Ils n’ont pas beaucoup d’argent, mais il y a beaucoup de pauvres.

Emmanuel Todd :
Les hommes politiques, incapables de manipuler plus longtemps notre “Démocratie d’opinion”, ne vont-ils pas devoir purement et simplement supprimer le suffrage universel ?

Gandhi :
Nul homme qui aime son pays ne peut l'aider à progresser s'il ose négliger le moindre de ses compatriotes.

Les Indignés :
Regarde bien ta Rolex, c’est l’heure de la révolte.

Michael Lerner, psychothérapeute :
On ne peut pas vivre en bonne santé sur une planète malade.

Victor Hugo :  
Souvent la foule trahît le Peuple.

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