lundi 30 avril 2012

Résolument europhobe



Un petit historique pour entamer la diatribe – : Nos ancêtres se sont battus, sont morts pour forger notre pays, acquérir des droits, des libertés, une qualité de vie dont nous profitons aujourd’hui. Pour protéger ses droits ses privilèges et ses spécificités qui font de nous ce que nous sommes, ils ont fixé des frontières et mis des personnes pour garantir et protéger ses frontières…cela a pris… 20 siècles.


La fin du siècle XX est venue et l’Union Européenne vit le jour. En 1992 avec 51% de voix favorables, le Traité de Maastricht donnait toute liberté d’action à ceux qui voulaient détruire la France, ceci n’était plus une hypothèse mais une constatation aisément vérifiable dans l’actualité de ces 10 dernières années. Tous les acteurs de cette destruction étaient parfaitement identifiables étant à la tête de notre pays depuis trois décennies. Ils nous ont alors expliqué qu’il fallait être européen avant que d’être français, et sont venus des lois gérés non plus de France mais de Bruxelles qui nous ont imposé de ne plus avoir de garants de nos limites territoriales, de ne pas taxer ou imposer les produits importés, d’être ouvert à tout occultant que c’était surtout à notre propre destruction économique, l’on a vu alors arriver en masse des produits qui ont inlassablement tué toutes nos usines. Le secteur du textile fut le premier à disparaître signal d’une l’économie qui se meurt, puis ce fut le tour des usines métallurgiques… d’électroménagers… papetières… électrotechniques… automobiles… qui furent touchés à mort et l’avertissement se muta en anéantissement.

1- Les limites étaient franchies

Ce fut alors l’avènement du « libéralisme » ou « social libéralisme ». Dans ce nouveau paysage social libéral de droite bobo ou gauche caviardeuse, plus de place pour la préservation de l’innocence de l’enfant, l’éducation, la progression sociale, la charité, la beauté du monde, la nature, la morale… la justice n’y faisait pas exception et l’on s’apercevait très vite que les fauves n’étaient pas derrière les barreaux. Ce monde purement matérialiste était soumis au culte de la matière : pas d’émotion, d’art, de culture, de processus intellectuel ou spirituel. Dans ce monde là, tu gagnais 1500 euros derrière ta caisse ou ton bureau, ton boss fait 150 millions de bénéfices par an en regardant le monde crever de faim tout préoccupé de savoir où il allait investir. Dans ce monde là…pas de vie après la mort, le matérialiste savait que ça s’arrête au marbre gris alors d’ici là… autant piller humanité et nature. Le monde avait changé, la société idéale des années 50 – 70 était bel et bien piétinée. La construction de la société du XXIeme siècle donnait tous les gages et armes de réussite aux cocacolistes et multinationales de tous poils, pas d’échappatoire, notre société, laissait peu de place au savoir, à la connaissance, à la sagesse, à l’émotionnel et à la vérité artefacts méprisés par le pouvoir guerrier, le fort devait dominer le faible qui n’avait pas de place dans cette société où l’on tuait les enfants dans le ventre des mamans, la fin devait justifier les moyens… la majorité, silencieuse était soumise et suivait alors les mots d’ordre du plus haut dans les sondages ou du champagne au mépris de toute morale. Les entreprises fonctionnaient sur ce schéma. Le système dominait. Pas d’échappatoire donc si ce n’est s’incliner, supporter, ou devenir pire que celui qui était en haut de l’échelle darwinienne et perdre ses propres valeurs morales. Et si je suis là  discourir vainement c’est sûrement que … je supporte… car :
« La nature se contente d’éliminer les moins aptes, les faibles, les boiteux. La nature n’est pas non plus cruelle, la cruauté et le sadisme sont uniquement des concepts humains – comme le libéralisme-. Dans la concurrence un individu généreux, désintéressé, noble de cœur et de sentiments, altruiste, franc du collier, sera totalement éliminé dans les affaires. Il ne fera pas 10 mètres. Le Darwinisme social favorise la prolifération des salauds, des menteurs, des rapaces, des êtres vils et abjects. Plus tu es moralement bas, plus tu montes dans les affaires. Plus tu es simpliste, plus tu réussis. Un individu un peu intelligent ne peut pas imaginer que le culte de l’argent pour l’argent soit d’un quelconque intérêt ; il lira de la poésie, regardera les couchers de soleil et perdra du temps à ne pas faire d’argent. Un individu un peu compliqué verra dans une forêt une source de couleurs et d’émerveillement ; l’idiot capitaliste, lui qui réussira y verra une matière à exploiter. Dans un lac un individu normal voit un lac, Un libéral, y voit une base de loisirs et évidemment c’est lui qui réussit. Le Darwinisme social favorise l’émergence et le triomphe du primaire » .- Extrait de « Malheur aux vaincus » de Philippe Labarde et Bernard Marris-
Ceci amenait l’interrogation suivante : Devait-on abandonner tout état d’âme pour faire de l’argent ? ou dit autrement  faut-il être un salaud sans moralité pour réussir à atteindre le haut des échelons dans la société où nous évoluons ?
Reprenons le fil du temps de cette européanisation, ce fut l’INVASION des produits venant des pays d’émergents, les entreprises qui délocalisent, un carburant en perpétuelle augmentation, un pouvoir d’achat en baisse perpétuelle alors que paradoxalement on n’avait jamais vu autant de grosses cylindrées dans les banlieues et de 4 x 4 sillonnant nos villes pilotés par des visages qui vous toisent de haut derrière des vitres teintés. Les délocalisations, le pouvoir grandissant des centrales d’achat, la décentralisation des services publics, et la dictature de l’ultra-libéralisme : « il faut partir plus tard à la retraite », « Il faut travailler plus », « il faut constater que l’on est bien chez nous et qu’on a pas à se plaindre » comparativement à  nos compatriotes européens, des pays de l’Est ou Polonais… dont pourtant on faisait tout pour nous rapprocher en nivelant par le bas. La production se perdit  proportionnellement à l’augmentation des sous-traitance à l’étranger et à la prolifération des sièges sociaux dans les paradis fiscaux. Les grandes sociétés multinationales aux sièges délocalisés acculèrent Artisanat, PME, PMI à la faillite pratiquant le sauvetage de quelques-unes pour finalement les absorber, pendant que dans le même temps le bulldozer tout puissant de la Grande Distribution pulvérisait les commerces locaux. Le règne de la mal bouffe était venu, puis celui de « l’inculture » propagée par les médias et les réformes bidons, le temps de l’injustice où l’on relachait les voleurs et criminels protégés par le laxisme de nos gouvernants, le monde et l’information s’était internationalisé diminuant la valeur d’une vie humaine par des images et des faits toujours plus violents, plus fréquents et plus diffusés par ce que certains ont encore la crédulité d’appeler « l’information ». Entre 2 flash de merdias, le divertissement réaltiviesque : « Donner du pain et des jeux au peuple il arrêtera de penser  » , à l’exemple de Kho Lanta, la seule émission de TF1 à ne pas louper, où toutes les tares de l’arrivisme (entendre courage), du mensonge (stratégie), du fiel (force primaire ) et quelques pathologies sont réunis pour le meilleur de l’aventure au sens le pire du terme et … pour l’argent. Superbe spectacle Darwinien où les faibles vont être rapidement éliminés à la fois par les producteurs et par l’animosit… par l’animalité de leurs propres congénères. Un délice qu’on devrait imposer à certains de nos politiques. Revenons à nos moutons et nos bas de laine, les chaussettes chinoises trouées vinrent remplacer « Phildar », et le pire continua…



2- La Cigue dans l’assiette et le frelon asiatique
Rappelez-vous c’était il y a très peu de temps… la Chine commença à nourrir nos enfants au fur et à mesure que nos politiques nous imposèrent l’avènement  du règne de la mal bouffe. Mais cela ne suffisait pas à produire de l’argent alors on adjoignit à tout ça une quantité de mesure phares, qui allait nous spolier davantage de nos droits et l’avenir de nos enfants : augmentation des ponctions fiscales, répressions routière à outrance, manipulation médiatique, étalage de sous culture, promotion de la richesse conjointement au mépris de la vie humaine, il fallait alors réduire les services publics, augmenter ceux de l’ordre, et délaisser la santé alors que paradoxalement les dépenses liées à la santé étaient en constante augmentation, et pousser le ridicule jusqu’à faire venir des médecins d’Afrique, d’Asie ou du Moyen-Orient. Nos corps se fragilisaient, nos esprit s’euthanasiaient et la qualité de citoyen se perdit dans l’anonymisation de ce nouveau paysage européanisé avant que d’être mondialisé par force. Tout était en place bâti sur le système d’abétisation des masses, Nous commencions à entendre des gens protester parce que l’on fermait leur petite école de village, soudainement devenu plus rentable, pour envoyer la jeunesse de demain dans des usines scolaires qui commençait à partir de 1000 élèves ou la maternelle côtoyait le secondaire et à l’architecture grise et sans âme. Pour résumer que le budget de l’éducation et de l’avenir des jeunes français était continuellement réduit à peau de chagrin. Le journal TV, débutait par des nouvelles de l’Etranger ou des « Faits divers » où l’on décrivait comment machin avait charcuté ses gosses et sa femme avant de les mettre dans le congélateur, ou comment les tournantes s’organisaient dans les caves. Les émissions débilitantes avaient allègrement remplacés la culture et la réalité. La promotion de la bêtise et de la pornographie devenait un star system. Pendant que l’enfance se perdait entre matérialisme et hyper-sexualisation. Parrallèlement On continuait a faire rentrer dans la société française de nouveaux peuples qui n’avait pas du tout la même culture et les mêmes modes de vie, et le mot « kiffer » faisait son entrée comme des centaines d’autres dans le dico alors que « mal séant » était considéré comme faute et inusité, et qu’Hollande poussait le vice à bannir le mot « race » de la langue française.
Le présent est arrivé comme inéluctable, tout est truqué perverti, pipé de la naissance au moment où l’on appui sur la pompe à morphine. Tout est orchestré pour nous empêcher de réfléchir sur notre condition. Le monde est fait pour être dominé, devinez de quel côté vous êtes ! Ne remontons pas au moyen âge pour faire machine arrière qui comme son nom l’indique n’était pas un âge terminé, nous avons évolué depuis, mais entre l’après-guerre des années 50 à 1974… et ce qui nous est imposé à présent il y a un changement drastique qui s’opère tous les jours de plus en plus fort et de plus en plus vite. Les frontières sont le symbole du nouveau monde qui s’est imposé à nous.  Avez vous vu les actualités ? Au-delà de la l’affaire Merah, je n’ai retenu pour ma part retenu qu’une chose « les frelons asiatiques sont en train de décimer les abeilles en France déséquilibrant un écosystème déjà fragile »… n’avez-vous pas l’impression que la nature nous dis elle-même ce qui se passe lorsque la frontière est franchie  ?

Aujourd’hui prenons 1 minute pour se poser de simples questions vitales :
- la valeur d’une vie humaine aujourd’hui a t’elle le même prix qu’il y a 20 ans ?

- pourquoi la presse est-elle consentante à tout cela, et l’opposition systématiquement diabolisée et pourquoi capituler ainsi devant une élite occulte dont on ignore les desseins mais percevons combien ils  sont néfastes ?
- pourquoi avec un tel empressement toutes ces oligarchies  s’emploient-ils à suivre unilatéralement et simultanément le processus irréversible du nouvel ordre mondial qui conduit à la perte de l’individualité ?
- pourquoi tolérons nous que l’on taxe nos biens ou nous spolient nos acquis ?
- pourquoi tolérons-nous que se soient des  empoisonneurs qui nourrissent nos enfants ?
Pourquoi accepter… l’inacceptable ! 



3- La cité des fortunes supplanta celle des sages
Nous sommes bien loin de la citée des sages décrite par Platon. L’existence de nos politiques est tellement aux antipodes de celle des petites gens, qu’ils doivent forcement ne pas avoir conscience de la condition des autres. Il en résulte qu’ils doivent nous « chosifier » ; car chosifier  l’autre c’est lui ôter toute notion d’identification, de compassion et de morale. Nos politiques nous ont soigneusement enjolivés tout ça, nous avons laissé faire, consentants, inconscients ou résignés, les quelques voix qui se sont élevées ont été diabolisées, marginalisées, décriées et bâillonnées. Aujourd’hui nous en sommes là, un monde sans frontière, la ploutocratie s’est installée avec un avenir bien compromis pour nos enfants, et pour ma part un profond dégoût. Celui de me sentir tellement différent de tout ça. Non ce monde que l’on nous offre je n’en veux pas pour ma part, je ne crois pas en une quelconque mainmise d’illuminati en chemises noires qui prient Gog et Magog. Je crois juste qu’il y’a une poignée de crapules au dessus de la masse dont il faudrait urgemment se débarrasser. Alors « Tous pourris » et bien oui ! Parce qu’il y a du ménage à faire a faire en France, avant de discourir de ce qui se passe chez les autres,  enfin quand nos politiques et nos médias arrêterons de nous prendre pour des cons, faut dire que par certains côtés on les aide un peu. Parce que l’Europe n’est pas indispensable, et ne l’a jamais été que l’on peut-être radicalement « contre » sans avoir à en rougir à l’exemple du référendum de Mastricht qui en 92 s’était soldé à 51% pour et 49 % contre. Il suffit simplement de penser que l’on a très bien vécu pendant 20 siècles sans compromission avec les pays émergents. Très bien vécu avec un représentant pour un pays, les anciens disaient d’ailleurs : »Un roi une terre« .
On nous a mis dans la tête que tout cela devait changer… … au nom de quoi de ce que l’on nous impose à présent, de la « belle Europe dévoreuse des droits ». Nos difficultés et nos entraves sont crées de toutes pièces par les Politiques, pour nous imposer leurs solutions à des problématiques qui n’existeraient pas s’ils ne les avaient créés.
A l’exemple de cette monnaie l’EURO dont la résultante fut traduite par une perte de 40% de notre pouvoir d’achat. Aujourd’hui les français regrettent l’époque dorée du franc, mais peu évoquent la volonté d’un retour à cette monnaie avec l’or pour étalon la base même, et saine de l’économie monétaire. Personnellement je n’ai pas choisi Sarkozy , ni ces prédécesseurs. Nous ne sommes responsables que de ceux que nous élisons, personnellement celui qui est en place je le subis, ce n’est pas mon choix, ni mon fait s’il est en place et je n’ai jamais voté que « non » à l’Europe depuis 1992. A  cette Europe dernière marche avant l’Axe du Nouvel Ordre Mondial. Avec réalisme il faut lui opposer un retour au PROTECTIONNISME national  et à l’Etat régalien car s’est l’unique moyen de sauver son pays, sa production (qui nous permet de subsister) son agriculture (qui nous permet de nous alimenter), sa population (qui en fait sa spécificité), sa culture (qui permet à toute civilisation de progresser). Finalement en bon anti-mondialiste patriote je paraphrase Huxley : « Au cours de l’évolution, la nature s’est donné un mal extrême pour que chaque individu soit différent de tous les autres. Physiquement et mentalement, chacun d’entre nous est un être unique. Toute civilisation qui, soit dans l’intérêt de soit au nom de quelque dogme politique ou religieux, essaie de standardiser l’individu humain, commet un crime contre la nature biologique de l’homme. » 



4- L’Allégorie 2012 de la caverne
2012 est arrivé, si cataclysme il y a, il y a gros à parier qu’il soit politique lors des élections. Rien ne servira de prôner des valeurs de droite ou de gauche, alors qu’il y a un constat flagrant que ces clivages ne veulent plus rien dire. Si Sarkozy nous a démontré quelque chose c’est bien cette certitude. J’envierai presque les millions de crédules de croire qu’en basculant à gauche en 2012, tout va soudainement changer et vice versa en 2017 après que la gauche ait vidée une fois de plus les caisses de l’état ! Depuis 1974, les mêmes politiques sont au pouvoir, avez-vous perçu une évolution de votre niveau de vie  au grè de ces pseudos changements à la tête de l’état ? ou vous vous sentez toujours plus oppressés, soumis à des réglementations toujours plus contraignantes, à des impôts plus élevés, à des droits plus succincts, à un avenir plus précaire, à consommer de la merde, à voir des gosses se faire massacrer dans des écoles…. Plus de droite, plus de gauche que des gens en quête de pouvoir et d’argent, si vous cherchez des humanistes mieux vaut éviter de les chercher dans le panel politique qui nous est proposé et se revoir tous les films de Capra pour se rappeler ce que signifie ce mot. Une seule chose m’étonne c’est qu’après 30 ans des mêmes crapules au pouvoir il y’en ai encore beaucoup à croire que leur situation peut s’améliorer en passant de gauche à droite, ou le contraire suivant l’humeur du moment! j’envie leur insouciance, entre intégrité, désintéressement et amour de mon pays j’en demande certainement trop mais il faudra bien un jour quitter la projection des ombres sur l’écran et sortir de la caverne décrite par Platon pour découvrir : la réalité, quitte à s’apercevoir que la bonne cause ne triomphe jamais mais que les salauds toujours par disparaître .
Et si l’on revotait aujourd’hui ; maintenant, combien choisiraient encore l’Europe meurtrière de l’Etat et de la démocratie,  30% ? plus, moins ? les mêmes 30% qui croient encore que l’on vit en République, qui profitent des largesses du système qui vont un jour nous imposer la Turquie (dont 97% du territoire se trouve en Asie) comme dirait les sociétaires des Grosses Têtes : « offrant un siège à Bruxelles à des gens qui n’en ont pas dans leur chiottes », maintenant que la pilule de l’européanisation des pays de l’Est est passée. La cité des sages de Platon est aux oubliettes. La France d’en bas est aussi coupable que celle du milieu, si il en reste une, coupable de ne pas secouer ces fameux 30% de cons pour leur faire comprendre vers quoi nous allons. Je ne vois pas qui pourrait bien sauver l’économie d’un pays où ce n’est plus l’intérêt de ces habitants qui prévaloît. L’Europe s’effondre, hier la Grèce, aujourd’hui l’Espagne, demain l’Irlande et le Portugal …et sous peu la France qui en doute !
Alors que vont-ils nous proposer, je vous donne un scoop :
Ce constat d’échec pour nous n’en est pas un pour d’autres, bien au contraire, ils vont nous expliquer sous peu, et  prenons en le Pari dates à l’appui, que la France s’effondre non pas parce qu’elle est « Européenne », mais parce qu’ « elle ne l’est pas assez » ! Et ils vont alors nous imposer une Europe Unifiée Economique, Politique et Militaire.
Au fond tout cela, Sarko ou Hollande nous le montre tous les jours, c’est un numéro d’acteur. De bons acteurs ceci dit puisque leur public en redemande quelque soit la pièce ingérée, car oui c’est bien là le pire : c’est que c’est le public qui l’alimente : Bienvenue dans la matrice.
La perte d’identité des nations (Européanisation pour ce qui nous concerne) et les crises résultantes de l’ouverture au mondialisme, la facilité avec laquelle on nous les as imposés, nous prouvent chaque jour, que nous allons subir quelque chose qui a bouleversé non seulement nos sociétés, mais aussi nos vies de famille et nos comportements et l’avenir de nos enfants. Combien de gens sont-ils capables de faire cette analyse et se révolter contre ce chemin tout tracé par quelque s ‘uns ? Très peu en réalité et assurément pas assez pour inquiéter ceux qui tiennent les rennes… (et cette fois ce n’est pas le père Noël).
La seule consolation à l’instant présent est d’être assez éveillé pour s’en rendre compte et ne pas l’accepter « car la nation nous appartient elle fait partie du bien commun ».



Le spectacle continue et tu peux lui apporter ta rime !  …
Stéphane, pour Mecanopolis

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